10 conseils pour améliorer la qualité de l'air chez vous

La pollution de l'air ne se limite pas à l'extérieur. Chez soi aussi, l'air peut être chargé de substances nocives, invisibles mais bien réelles. On parle alors de pollution intérieure, un facteur souvent sous-estimé, qui peut pourtant affecter votre santé au quotidien. Peu de gens savent qu’il est possible de la mesurer, de l’analyser… et surtout, de l’améliorer. Voici donc tout ce qu’il faut savoir sur la qualité de l’air intérieure et 10 conseils pratiques pour respirer un air plus sain à la maison.

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Quels sont les facteurs qui influencent la qualité de l’air intérieur ?

Plusieurs éléments peuvent dégrader l’air de nos maisons :

• Une mauvaise ventilation. Pour garantir un air sain, il est essentiel de renouveler l’air régulièrement. Ouvrir les fenêtres toutes les deux heures est recommandé, mais difficile en hiver.
• L’humidité. Un taux trop bas ou trop élevé favorise les moisissures ou l’assèchement des muqueuses. L’idéal ? Entre 40 % et 50 % d’humidité en hiver, et jusqu’à 60 % en été.
• Le dioxyde de carbone (CO₂). Produit par la respiration humaine ou certains systèmes de chauffage, il peut rapidement s’accumuler dans les pièces mal ventilées.
• Le monoxyde de carbone (CO). Un gaz inodore et toxique, souvent émis par des appareils de chauffage défectueux ou mal entretenus.
• Les composés organiques volatils (COV). Présents dans les meubles, peintures, détergents ou imprimantes, ils libèrent des substances toxiques comme le formaldéhyde.
• Les particules fines (PM10, PM2.5). Les micro-poussières pénètrent dans la maison depuis l’extérieur ou se forment à l’intérieur, nuisant à la qualité de l’air.

Quels sont les symptômes d’une mauvaise qualité de l’air ?

Respirer un air pollué chez soi, même sans s’en rendre compte, peut avoir un impact réel sur la santé, surtout lorsque l’exposition est continue. Les effets ne sont pas toujours immédiats, mais ils peuvent s’installer progressivement et affecter le bien-être au quotidien. Il n’est pas rare, par exemple, de ressentir des irritations au niveau du nez, de la gorge ou des yeux, sans forcément en comprendre l’origine. La sécheresse des muqueuses peut également apparaître, tout comme une toux persistante, un essoufflement ou encore l’aggravation de symptômes d’asthme.

À cela s’ajoutent des signes plus généraux comme la fatigue chronique, les troubles du sommeil ou les maux de tête, souvent attribués à d’autres causes. Dans certains cas, l’air intérieur de mauvaise qualité peut provoquer des vertiges, des nausées, voire contribuer au développement de maladies respiratoires ou cardiovasculaires. Les allergies, quant à elles, peuvent être aggravées par la présence d’acariens, de moisissures ou de poils d’animaux.

Certaines personnes sont plus vulnérables à ces effets : les enfants, les personnes âgées, les femmes enceintes ou encore celles dont le système immunitaire est affaibli. D’où l’importance de prêter attention à la qualité de l’air que l’on respire chez soi, un élément souvent négligé, mais essentiel pour préserver la santé de toute la famille.

Comment puis-je améliorer la qualité de l’air dans ma maison ?

1. Aérez régulièrement votre logement. Même en hiver, ouvrez les fenêtres 5 à 10 minutes plusieurs fois par jour. Cela permet de renouveler l’air et d’évacuer l’humidité, les polluants et les odeurs accumulés.
2. Contrôlez le taux d’humidité. Un air trop sec ou trop humide nuit à votre confort et à votre santé. L’idéal est de maintenir un taux d’humidité entre 40 % et 50 % en hiver (température idéale : 20-21 °C) et 50 % à 60 % en été (température : 24-25 °C). Utilisez un hygromètre pour surveiller ce taux et un humidificateur ou déshumidificateur si besoin.
3. Entretenez votre système de chauffage. Les chaudières, poêles ou chauffages au gaz peuvent émettre du monoxyde de carbone (CO), un gaz dangereux. Faites-les vérifier régulièrement par un professionnel certifié, et installez un détecteur de CO.
4. Limitez l’utilisation de produits chimiques. Évitez les aérosols, désodorisants, nettoyants parfumés et solvants. Préférez des alternatives naturelles : vinaigre blanc, savon noir, bicarbonate de soude…
5. Faites attention aux meubles et matériaux. Les meubles en aggloméré, peintures, vernis ou colles peuvent libérer des composés organiques volatils (COV), dont le redoutable formaldéhyde. Choisissez des produits étiquetés « faible émission » ou « sans COV ».
6. Installez des plantes dépolluantes. Certaines plantes d’intérieur comme la fougère, le lierre ou le spathiphyllum peuvent filtrer naturellement des polluants légers. Attention toutefois aux allergies.
7. Passez l’aspirateur avec un filtre HEPA. Les poussières fines (PM10, PM2.5), allergènes et acariens s’accumulent vite. Utilisez un aspirateur avec filtre HEPA et nettoyez les surfaces régulièrement.
8. Surveillez la qualité de l’air. Il existe des capteurs intelligents de qualité de l’air qui mesurent l’humidité, le CO2, les COV et même les particules fines. Un bon moyen de détecter un problème et d’agir rapidement.
9. Installez des purificateurs d’air. Pour les personnes sensibles ou dans les zones urbaines, un purificateur d’air avec filtre HEPA peut éliminer efficacement les particules, allergènes et polluants gazeux.
10. Faites attention à la cuisson. Cuisiner libère de la vapeur d’eau, du CO2 et parfois des polluants (surtout avec les gazinières). Activez la hotte aspirante et ventilez bien la pièce après chaque utilisation.

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Comment mesurer la qualité de l'air à la maison : les avantages du système de chauffage intelligent IRSAP NOW

Le système de chauffage smart d'IRSAP NOW vous aide à contrôler en permanence la qualité de l'air que vous respirez.

En effet, IRSAP NOW est le système innovant qui vous permet de transformer votre système traditionnel en un système de chauffage intelligent, sans fil et multizone, personnalisable pour tout type de maison.

Il est conçu pour améliorer votre confort grâce à une surveillance précise de la qualité de l'air dans chaque pièce de la maison, et accessible à tout moment et n'importe où grâce à l'Application, disponible pour Android et iOS et compatible avec Alexa et Google Home.

Il s'agit d'un système de smart heating qui vous permet de réduire l'impact sur l'environnement et de faire des économies en optimisant la consommation.

En particulier, le thermostat intelligent vous permet de régler et de mesurer avec précision la température de la pièce dans laquelle il est installé et, grâce à ses fonctionnalités avancées, il vous permet également de contrôler le degré d'humidité et la qualité de l'air dans votre maison.

Ainsi, ce thermostat sans fil vous permet de détecter la présence de substances nocives dans l'air telles que le CO2, le Monoxyde de Carbone, l'Éthanol ou le Toluène, en envoyant les données à l'Application, ce qui vous permet d'avoir toujours un air sain dans votre maison !

Le thermostat intelligent est toujours connecté et se met à jour automatiquement à chaque nouvelle version du logiciel.

En naviguant parmi les différentes fonctions, vous trouverez le lettrage « IAQ » (IAQ = Indoor Air Quality) qui fait précisément référence à la qualité de l'air intérieur mesurée par l'appareil. La flèche qui suit l'abréviation indique si la qualité est bonne, suffisante ou mauvaise. En revanche, le pourcentage affiché indique l'humidité mesurée dans la pièce où se trouve le Smart Thermostat. En effet, la lettre  « H » qui précède les chiffres signifie « Humidity » (humidité).